Depuis plusieurs années, on observe une tendance préoccupante : les crudités, autrefois incontournables dans nos repas quotidiens, semblent avoir progressivement disparu de nos assiettes. Que ce soit dans les foyers, les cantines ou les restaurants, les salades de carottes râpées, les concombres frais ou les tomates en tranches se font de plus en plus rares. Cette évolution soulève des questions quant aux raisons de cette désaffection pour les crudités, qui étaient autrefois synonymes de fraîcheur, de légèreté et de santé.

Dans la quête incessante de bien-être et de santé, de plus en plus de personnes se tournent vers la naturopathie. Cette approche holistique de la santé met l'accent sur les méthodes naturelles pour favoriser l'équilibre du corps et de l'esprit. Cependant, une tendance alarmante semble émerger au sein de la naturopathie moderne : un détachement croissant de ses racines fondamentales, notamment l'importance primordiale de l'alimentation.

Les fibres : il s’agit de nutriments qui ne sont pas assimilés par notre organisme, mais qui sont utilisés comme aliments par notre système digestif et notre flore intestinale.
Les fibres n’apportent aucune valeur nutritionnelle, en revanche, elles jouent un rôle très important dans la digestion et dans l’équilibre du microbiote.

La nutrithérapie signifie étymologiquement « soigner par l’alimentation ». Dans la pratique, le nutrithérapeute préconise une alimentation équilibrée adaptée aux besoins de chacun, tout en y ajoutant des compléments alimentaires spécifiques afin de combler des besoins précis.